musique

Amaï t’is een goed idee!

Comme chaque année, durant toute la semaine se situant entre noël et le nouvel an, Top radio programme son Retro arena Top 500.
Ne manquez pas de découvrir ou redécouvrir ces « retro classics »!
Op honderd en zeven punt negen… Fm! 🙂

MISERERE 1638.

La légende (?) d’après wiki…

Dès les premières années, le Vatican avait interdit de le reproduire ou de le diffuser afin d’en préserver le caractère unique. On raconte que le transcrire ou le jouer ailleurs qu’en ces lieux aurait été puni d’excommunication, spécialement pour les choristes qui étaient les seules personnes à même de diffuser l’œuvre dans son intégralité.

Cependant, il y eut de nombreuses transcriptions supposées du Miserere parmi les cours royales d’Europe, mais jamais de la qualité de celle qui se chantait à Rome. Selon de nombreuses lettres, en 1769, Mozart, âgé de quatorze ans, a réussi à retranscrire l’œuvre après seulement une ou deux écoutes. Alors qu’il visitait Rome, avec son père, il eut la chance de pouvoir écouter le Miserere le mercredi de la Semaine sainte. Le soir même, il retranscrivait le morceau de mémoire. Il l’écouta encore une fois le vendredi qui suivit pour pouvoir faire quelques modifications. Le Miserere obtenu fut publié en 1771 à Londres et l’interdiction papale levée. Mais cette version n’incluait pas l’ornementation baroque qui faisait une partie du succès et de la beauté du chant.

Mozart fut accusé d’avoir volé la partition car il paraissait impossible qu’un enfant de quatorze ans pût, en aussi peu d’écoutes, retranscrire la partition. La polyphonie en était tout de même assez simple et les aspects répétitifs de l’œuvre, nés de la succession des nombreux versets du psaume, avaient facilité le travail du jeune homme. De plus, son père avait toujours cherché à mettre en valeur les qualités, il est vrai exceptionnelles, du génie que l’on connaît.