arts plastiques
Diego Velázquez en el museo de Bellas Artes de Sevilla
Le souvenir de ce qui m’a touché en voyant ce tableau : ce regard inquiet et ce ton mélancolique convient en peinture plutôt à un philosophe mais de manière générale pas à un apôtre.
On ne voit représenté ici qu’un simple mortel et qui semble surtout, je me sentis autorisé à l’interpréter de cette manière, littéralement frappé par sa mission, prenant la mesure de sa tâche à venir, face aux siècles et aux hommes, encore si loin de la Parole, si faibles…
-« Quel travail… »
Rien ici n’est rayonnant ou « angélique » : voilà un humain et non pas un illuminé…

J’ai découvert un grand Léger …et surtout Brassaï dans « La Ville magique »!

Bon, en photo ça donne juste rien. Parce que ‘faut voir, comme c’est bien joué,
ces artifices-là, et puis cette abondance de reflets et d’ombres là,
mmh… et c’est grand, très grand, accroché un peu haut si je me souviens bien…
Maquette pour une peinture murale, Fernand Léger, 1938. Vu au LaM à Lille.